lyrics
“Au crépuscule d’une vie, d’un soir,
voici l’histoire d’un homme, las d’une vie emplie,
qui prend la plume, contemplant sa propre perte.”»
L’encre s’écoule, obscurant ces pages,
encore une fois, l’alcool ne suffit plus,
le désir, cette grande mascarade de l’ennui;
“Désormais affaibli, au terme d’une
existence parsemée d’accomplissements,
tu as su offrir ta jeunesse, ta fougue et ton sang,
dans l’espoir d’édifier passionnément ce monde,
d’y parachever l’Utopie.»
Que de rêveries vaines!”
Repoussante entité
s’éprenant à nouveau de mon être.
Repoussante entité
s’enracinant à nouveau en moi!
Au couchant de ma vie,
je ne trouve plus la force,
d’étouffer le regret.
Ce sont ces mots qui me lient,
à cette plume...
Cherchant plutôt l’accord de l’être au matériel,
j’ai bien vu le sablier s’écouler,
Au rythme de mes ivresses,
de l’amour des proches,
de tous ces détours intentionnels
et les années qui défilèrent.
Au couchant de ma vie,
je ne trouve plus la force,
d’étouffer le regret.
Ce sont ces mots qui me lient,
à cette plume, à cette voix.
"Qu’en reste-il désormais,
à l’heure de l’introspection?
Ces regards indifférents
d’une jeunesse apathique?
Ce monde n’est plus que déchirures
et j’y ai produit ma part de poussières..."
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